Né à Bafia au Cameroun, Simon Nwambeben a parcouru le monde comme directeur musical de la compagnie Royal de Luxe. Après avoir posé ses valises en France, à Nantes, il s’attelle au projet qu’il porte depuis longtemps : monter son propre spectacle, irrigué par les rythmes Bantous et les traditions Bafias. Il invente alors son propre style musical : le Bitibak.
Au-delà de son appartenance au monde africain, Simon Nwambeben propose un univers de poésie qui danse et qui palpite constamment aux frontières du fragile et de l’universel.
Simon Nwambeben : chant, guitare
Erwan Martinerie : violoncelle
Au sujet de l’album Classic Bitibak — Extraits de presse
« Vous avez entre les mains une espèce d’épure exemplaire, pétrie d’une sensibilité chavirante : une chanson qui danse et qui palpite constamment aux frontières du fragile et de l’universel. Mélodiquement, c’est magique. » Jean Théfaine, Chorus
« Un chant tout en nuances dans lequel Nwambeben étale son registre vocal exceptionnel sur des musiques sophistiquées et fragiles … une musique apaisante et intelligente » Bouziane Daoudi, Libération & World
« Une lumineuse voix haute sur une guitare discrète et des choeurs féminins apaisants : la chanson camerounaise en version folk » Eliane Azoulay, Télérama
www.simon-nwambeben.com
Au-delà de son appartenance au monde africain, Simon Nwambeben propose un univers de poésie qui danse et qui palpite constamment aux frontières du fragile et de l’universel.
Simon Nwambeben : chant, guitare
Erwan Martinerie : violoncelle
Au sujet de l’album Classic Bitibak — Extraits de presse
« Vous avez entre les mains une espèce d’épure exemplaire, pétrie d’une sensibilité chavirante : une chanson qui danse et qui palpite constamment aux frontières du fragile et de l’universel. Mélodiquement, c’est magique. » Jean Théfaine, Chorus
« Un chant tout en nuances dans lequel Nwambeben étale son registre vocal exceptionnel sur des musiques sophistiquées et fragiles … une musique apaisante et intelligente » Bouziane Daoudi, Libération & World
« Une lumineuse voix haute sur une guitare discrète et des choeurs féminins apaisants : la chanson camerounaise en version folk » Eliane Azoulay, Télérama
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